Travailler à votre compte ne convient pas à vos attentes et objectifs ? Il existe d’autres moyens d’exercer votre art. Les places de traducteurs en interne sont malheureusement rares dans les entreprises et les agences de traduction. Mais, il existe encore des services de traduction plus ou moins importants dans les (très) grandes entreprises (ex : sociétés aérospatiales, entreprises pharmaceutiques, etc.) Néanmoins, pour prétendre à ce type de poste, vous devez justifier d’une expertise dans ces domaines spécifiques.
Comme beaucoup d’autres traducteurs, vous pouvez tenter d’intégrer le bureau de traduction de l’ONU (si les procédures administratives, la fameuse « red tape », ne vous font pas peur !). Pour ce faire, vous devez obligatoirement passer un concours. Pour cela, renseignez-vous sur le portail officiel en cliquant ici.
Le concours correspondant à votre paire linguistique n’a pas lieu tous les ans, il faut donc consulter régulièrement leur site pour connaître les demandes en cours. Toutefois, il est bon de savoir que même en cas de réussite au concours, l’ONU ne s’engage aucunement à vous offrir un poste immédiatement. Vous serez inscrit(e) sur un « roster » (une liste) et ils vous contacteront si un poste deviendra vacant. A vous de voir si le jeu en vaut la chandelle.
Autrement, vous pouvez toujours envisager de travailler occasionnellement en tant que « volontaire des Nations Unies ». Plus d’info sur ce site : http://www.unv.org/fr/etre-volontaire/volontaires-en-ligne.html
My previous post was meant for junior translators fresh out of college who might be looking for some guidance on how to start out in the translation business. I think it is all the more important for them to be aware of this from the start. I’ve been working in the translation industry for almost three years now (which can still be considered junior!) and I’ve only stopped using the word « freelance » quite recently.
How to Succeed as a Freelance Translator by Corinne McKay (an ATA board member).