Language among Top 5 Barriers to Doing Business

The Australian Trade Commission (Austrade) published and recently updated its AIBS 2014 report (Australia’s International Business Survey), one of the most comprehensive investigations into Australian international business activity to be conducted in more than a decade.

The survey found that one of the top obstacles to doing business and/or accessing markets is a lack of information about local culture, business practices and language.

Therefore, translation should be seen as an investment, not a cost. Good communication is key to success on a global scale.

For more information, read the complete survey report here.

For highlights report, click here.

Translating Corporate Websites in 4 Steps

Are you looking to have your website translated?

Your communication online is key to your success in the global market. To ensure top quality of your content, trust the expertise of a professional translator. To better understand the whole work that goes into handling successfully a translation project, see below the infographic I created especially for you. Click on the image to enlarge.

For more details and/or a free quote, contact me through my Contact Page.

Infographic Translating Websites

The importance of multilingual content marketing

Do you know how important content marketing is?

Companies willing to boost their sales shouldn’t overlook blogs and social media. According to this article « The anatomy of content marketing »: blogs give sites 434% more indexed pages and 67% of Twitter users are more likely to buy more brands they follow.

Therefore, it’s crucial to communicate online, and above all, to communicate in your customers’ language. Don’t hesitate to publish blogs, tweets, Facebook posts, newsletter articles in several languages. You’ll broaden your footprint and reach a much wider audience.

These compelling numbers were published in a very informative infographic to illustrate the power of marketing content.

AnatomyofContentSource: article on prdaily.com.

NAATI-stamped French Translations

In need of NAATI-stamped translations of your personal documents?

The Australian authorities sometimes require certified translations of personal documents for official administrative use.

I can provide NAATI-stamped translations of your CV, diplomas, degrees, birth and/or marriage certificates, driving licence, etc.

Please note that I only provide stamped translations in the following language direction: English into French.

If your documents need to be translated into English, please visit the online directory curated by NAATI (http://www.naati.com.au/)

On Offering Business Content in French

What are the benefits of having your documents translated?

You may not realise it, but it’s actually crucial to address potential (and existing) clients in their own language. You’re more likely to drive your conversion rate and bottom line if you decide beforehand to invest in translating your business literature: brochures, press releases, website, emails, newsletter, social media communication plan, etc.

Have you noticed that, when travelling, the locals always respond very favourably when you make a small effort and try saying a few words in the local language? The same applies in the business world. But this time, you need to go the professional route and contact a professional translator to ensure an error-free translation.

Translating isn’t a cost, it’s an investment. By offering well-targeted and nicely-worded content, you’ll give your company a powerful image and an international footprint.

Don’t hesitate to contact me through my « Contact Page » for more details and/or a free quote.

On the process of translation

If you live outside the translation sphere, you’d probably think it is a simple task consisting of changing words for others. Well, you’ll be surprised to find out that it’s so much more than that.

I found a great infographic depicting the whole process that goes into translating. From the research needed beforehand to the proofreading and editing steps, handling translation projects is a wide and massive task requiring time and reflection.

To have a look at the document, please click here. The website is curated by Clara Giampietro from Winged Translations.

If I had a piece of advice to give to clients willing to have their business literature translated, it would be to, first and foremost, establish some kind of brief with the following elements: the aim of the documents (informative, commercial, promotional,etc), the target audience (employees, customers, investors, etc), deadline and specifics about formatting and/or terminology. Also, if your company has a very specific terminology that needs to be abided by, then it’s of the utmost importance to provide your translator with the necessary references (glossaries, style guides, past translation projects for consistency purposes).

Preparing a translation project should be like preparing an ad campaign, it should be well thought-out and accurately targeted to ensure optimal results.

Clients and translators need to work hand in hand to ensure a project is successful. Communication is key!

De la difficulté de traduire

Selon un classement publié sur le site themuse.com, le métier de traducteur et/ou interprète se classe à la 4e place des métiers à domicile les plus lucratifs, un constat assorti d’un point crucial, le niveau de compétences qui est estimé, à juste titre, « très élevé ». Le site décrit la profession comme suit :

« [Translators] work on special projects that are suited to their talents and areas of knowledge »

En plus d’excellentes qualités rédactionnelles, un traducteur doit effectivement posséder de très bonnes connaissances des secteurs pour lesquels il traduit des documents.  Cette profession requière autant de qualités scientifiques (factuelles) que de compétences artistiques (rédactionnelles). Malheureusement, cette profession étant dérèglementée, n’importe qui peut s’improviser traducteur. Par conséquent, il n’est pas étonnant que l’on se retrouve parfois face à des traductions peu satisfaisantes, voire même un florilège d’erreurs dont les conséquences peuvent être retentissantes. En ce 2 septembre, une erreur historique refait la une, celle de la traduction du mot japonais « mokusatsu » lors de la 2e guerre mondiale (http://www.slate.fr/story/91073/mokusatsu-erreur-traduction-seconde-guerre-mondiale). Cet article très intéressant aborde la difficulté de traduire des termes très ambigus dans le cadre des relations diplomatiques, un exercice de haut vol.

Comment traduire avec justesse des termes ambivalents, sachant que le choix pourrait avoir des répercussions fatales ? Une situation complexe autant sur le plan intellectuel qu’éthique. Imaginez la scène avec cette note de la NSA :

“Mais que voulez-vous dire par: ‘Mokusatsu peut signifier ‘Sans commentaire’ ou ‘Ignorer avec mépris’?!’ Nom de dieu soldat, je ne peux pas aller voir le chef des forces armées avec ça! Je dois lui donner des faits précis, pas un questionnaire à choix multiples! Alors vous vous remettez au boulot et vous me donnez une traduction valable »

Dans un autre contexte, on observe parfois que certains ont un recours plus que léger à des outils peu fiables comme Google Translate, ce qui se traduit par des erreurs gravées dans le marbre (ou le granit dans ce cas-là). Au Canada,  une traduction incompréhensible du poème When I Think of Famous Men de sir Stephen Spender a été gravée sur une façade d’un nouveau monument érigé dans un cimetière militaire à Ottawa. Pour consulter l’article, cliquez ici.

L’utilisation de certains outils est donc à éviter par respect pour la profession d’une part, mais surtout pour le public cible qui mérite de lire un texte compréhensible. En revanche, le recours au correcteur orthographique devrait être, lui, encouragé. Voici un autre exemple d’erreurs gravées dans le marbre : Cela se passe à Ferney-Voltaire, une petite commune dans la région Rhône-Alpes (France). Des plaques gravées de plusieurs citations de Voltaire ont été installées sur l’allée classée menant au château du philosophe. Problème : des fautes d’orthographe ou de syntaxe ponctuent les citations de l’écrivain du Siècle des Lumières. Des erreurs gravées dans le bronze ! Vous pouvez regarder le reportage en cliquant ici.

L’erreur est humaine, ça peut arriver à tout le monde, même aux linguistes les plus érudits. Mais, l’étape de la relecture ne devrait jamais être considérée comme facultative. Exprimer un message c’est bien, mais la forme compte autant que le fond, n’est-ce pas ?

https://twitter.com/Grammarly/status/504247040701132800

Petit guide de l’acheteur de traductions

Cherchez-vous à élargir la présence de votre entreprise au marché international ? Dans ce cas, il est dorénavant essentiel que vous vous internationalisiez aussi sur le plan linguistique. Si vous vous adressez à votre nouveau public dans sa propre langue, vous aurez plus de chances de le séduire et de vous implanter avec succès. Pour cela, il vous faut traduire, entre autres, vos brochures, votre site Web, votre blog, et même votre communication sur les réseaux sociaux !

Pour une communication internationale réussie, il est indispensable que vous vous posiez toutes les bonnes questions en amont. La première impression est cruciale, alors mettez toutes les chances de votre côté et sollicitez les services d’un traducteur qualifié et compétent.

La traduction de vos supports est un investissement, et non un coût.

Dans ce sens, la Société française des traducteurs (SFT) a élaboré un petit guide de l’acheteur très complet et informatif. Pour le consulter, veuillez cliquer ici.

La traduction de vos documents ne consiste pas uniquement à changer des mots d’une langue à une autre. Toute une stratégie doit être mise en place pour garantir une communication efficace, ciblée et adaptée à votre nouveau public. Que ce soit au niveau des slogans, des images ou du style de rédaction, vos documents doivent être soignés et refléter avec précision l’image de votre société. Cela exige une véritable collaboration entre le traducteur et l’entreprise qui s’ouvre à l’international.

Vous voulez vous donner une image internationale ? Bannissez l’approximation. Car dans de nombreuses cultures, les gens n’apprécient guère qu’on déforme leur langue. Charmant ? Non, ils trouvent ça méprisant.
 

A la découverte de la littérature de l’Hémisphère Sud

Traduire c’est bien, se détendre c’est mieux !

Ce billet abordera donc un sujet de littérature car c’est bien connu, un traducteur est un lecteur assidu. Et quand ce n’est pas pour le travail, c’est purement et simplement pour le plaisir. Cet été, je suggère une plongée dans la littérature de l’hémisphère sud avec 2 auteures qui méritent d’être connues en dehors des frontières de leur île respective : Jackie French pour l’Australie et Danielle Dambreville pour la Réunion.

Un billet exceptionnellement bilingue : en anglais pour l’auteure australienne et en français pour l’auteure réunionnaise. A ma connaissance, leurs livres n’ont jamais été traduits. Ce sera donc une plongée dans les deux langues.

Présentation (en anglais) de Jackie French :

Jackie French is an award-winning writer and the Australian Children’s Laureate for 2014-2015. She is regarded as one of Australia’s most popular children’s authors and writes across all genres (history, fantasy, ecology). You can visit her website at: www.jackiefrench.com

9780732285401A Rose for the Anzac Boys – It’s 1915. War is being fought on horrific scale in the trenches of France, but it might as well be a world away from sixteen-year-old Midge Macpherson at school in England learning how to be a young lady. But the war is coming closer: Midge’s brothers are in the army, and her twin, Tim, is listed as « missing » in the devastating defeat of the Anzac forces at Gallipolli. Desperate to do their bit – and avoid the boredom of school and the restrictions of Society – Midge and her friends Ethel and Anne start a canteen in France, caring for the endless flow of wounded soldiers returning from the front. Midge, recruited by the over-stretched ambulance service, is thrust into carnage and scenes of courage she could never have imagined. And when the war is over, all three girls – and their Anzac boys as well – discover that even going « home » can be both strange and wonderful.

In the wake of the 100th anniversary of the 1st World War, it is a great book to read as it describes the war from a not-so-common angle: the war as women experienced it. Their role was crucial in the war although history books don’t mention it as much as they should. Though they were not fighting on the front line, they faced the horrors of this war; working long and hard to attend to the wounded, to feed them, to clothe them, to hear their stories, etc. A lot of women even died when medical tents were targeted.

It is beautifully written (as always with Jackie French’s books) and I would recommend this book to French people who wish to further their English reading skills as well as discover a bit more about the Anzac forces: The Australian and New Zealand Army Corps. A great way to know more about this war in France from a brand new perspective: that of a young girl from New Zealand.

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Présentation (en français) de Danielle Dambreville :

Danielle Dambreville est née en 1951 au Port à l’île de La Réunion. Après une maîtrise en droit, elle choisit l’enseignement. La Mascarine est son premier roman.

indexLa Mascarine – 18 mai 1676. Le houcre Saint-Robert, en provenance de Surate jette l’ancre en rade de Saint-Denis. Françoise Chatelain débarque, abasourdie par une odyssée marine de plusieurs années. Rare survivante d’un convoi de seize « Filles du Roy » destinées aux colons de l’île Bourbon, elle ne sait pas encore qu’elle va être cette formidable pionnière qui fut à l’origine d’un peuplement. La Mascarine, c’est Françoise. Une femme libre dans un siècle où la femme ne pouvait exister qu’en fonction d’un homme : père ou époux… Françoise fut « marginale » pour son époque et son désir de vouloir rester elle-même lui valut un destin exceptionnel.

Divisé en trois parties (La France, L’odyssée et l’île Bourbon), ce livre historique est un véritable chef d’œuvre. L’écriture est fluide, sensible, mais également crue et émouvante lorsque les événements l’exigent. Le destin de Françoise Chatelain, le personnage principal, est tragique et exceptionnel à la fois. On découvre le sort des femmes au 17e siècle, leur traitement par une société dure et fermée d’esprit. Le passage sur l’Hôpital Général à Paris est particulièrement éprouvant tant le style d’écriture est réaliste. On se prend très rapidement d’affection pour Françoise qui, dès le plus jeune âge, semble destinée au malheur et l’abandon. Sa vie semble prendre un nouveau départ lorsqu’elle quitte enfin la France pour rejoindre en bateau l’île Bourbon (ancien nom de l’île de La Réunion). Cette odyssée de 3 ans lui apportera amour, malheur, aventure et désarroi avant d’accoster enfin à Bourbon où sa vie de pionnière ne sera pas sans péripéties à une époque où tout manque, où tout est à construire, loin de tout et de la France, mère patrie qui semble avoir oublié cette île du bout du monde, laissant à leur sort les colons blancs et les noirs « marrons » dont l’entente est très fragile et menacée. Pour découvrir l’histoire de l’île de la Réunion, c’est un excellent choix, tout comme l’explique l’historien qui exprime son point de vue à la fin du livre : « En dehors de La Mascarine, je n’ai rien lu qui donne une idée plus vivante de la période héroïque de l’histoire de l’île de Bourbon. »

Bonne lecture à tous !

L’Île de la Réunion pour des vacances intenses

Kosa ou fé pour les vacances ? Si vous vous posez la question, voici une suggestion : envolez-vous direction l’île de la Réunion, ce petit confetti en plein cœur de l’océan Indien. Un petit bout de France à l’autre bout du monde qui vous fera très rapidement oublier la grisaille de cet été 2014 en métropole. Soleil, lagon, volcan, cirques, cuisine créole, etc… La Réunion mérite que l’on parle d’elle pour toutes ses qualités.

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Envie de farniente ? Direction la côte ouest et ses lagons. Bien protégé par la barrière de corail, le lagon abrite de petits habitants. Les seuls poissons que vous risquez de rencontrer ont plutôt la taille de Némo que des dents de la mer. A l’abri du soleil sous les filaos, faites comme les Réunionnais, amenez votre cari de poulet (ou rougail saucisses) et pique-niquez en famille avant d’aller patauger dans les eaux chaudes du lagon avec masque et tuba pour admirer les coraux et autres créatures vivantes. Attention aux coups de soleil !

Envie d’aventure ? Prenez la direction des hauts pour découvrir les cirques. Au nombre de trois (Mafate, Cilaos et Salazie), ces sites sont d’anciens cratères volcaniques où vivent de nombreux 04.08.09 (06)Réunionnais. Le plus difficile d’accès demeure Mafate qui reste une randonnée exceptionnelle pour les plus courageux. Mais tout le monde peut admirer son relief à couper le souffle depuis le belvédère du Maïdo.

A Cilaos, vous découvrirez son vin, son marché et ses cases colorées. Il est aussi possible de l’observer avec plus de hauteur depuis la fenêtre des Makes (accessible en voiture). Sur la route de Salazie, ne manquez surtout pas la célèbre cascade surnommée « Voile de la mariée ».

Envie de frisson ? L’Île de la Réunion possède non pas 1 mais 2 volcans. Le Piton des Neiges, le plus ancien et bien endormi, domine les trois cirques. Quant au Piton de la Fournaise, il figure parmi les volcans les plus actifs au monde. C’est le seul volcan avec celui d’Hawaii à offrir un spectacle de début du monde lorsque la lave bouillonnante atteint l’océan.

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Les dernières grandes éruptions ont laissé des traces bien visibles. Ne manquez pas l’église Notre Dame des laves complètement piégée par la lave.

Depuis 4 ans, les pitons, cirques et remparts de la Réunion figurent au patrimoine mondial de l’UNESCO. Cette zone protégée couvre en effet une superficie considérable

plus de 100.000 ha, soit 40 % du territoire réunionnais.

Pour en savoir davantage sur cette distinction et sur la géologie de l’île, rendez-vous ici.

Pour organiser votre voyage, veuillez consulter le site officiel de la région Réunion à l’adresse : http://www.reunion.fr

Retrouvez toutes les infos relatives à la Réunion sur Facebook (https://www.facebook.com/ReunionTourisme), Twitter (@ReunionTourisme) et YouTube (https://www.youtube.com/user/ReunionTourisme).

Vidéo insolite représentant des vacances de rêve sur l’île intense :